Ce nom est l’évocation symbolique d’une action commise par la génitrice du clan. Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour envoyer par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) En effet les relations familiales entre individus sont déterminés par des liens de parenté utérine. Ces chefs de tribu sont désignés par l’ensemble du peuple Himba et cette fonction n’est pas héréditaire. Il existe un certain nombre de chefs de tribu égaux entre eux. Toutefois la plupart de ces clans se retrouvent sur un espace géographique assez vaste, allant des Héréros du Botswana aux Kuvale d’Angola. Après leur mariage, elles tressent leurs cheveux et adoptent le port d’un petit chapeau en peau de chèvre appelé « errembe ». L’habitude de se gratter avec l’outil est cependant restée.Ces coiffures prennent des heures, et tout est bon pour les allonger: poils de chèvres, cheveux achetés au marché, etc. Il en résulte en pratique que les droits de propriété, d’héritage et par extension, l’exercice du pouvoir économique sont régis par des règles matrilinéaires alors que les pouvoirs spirituels et politiques se transmettent de père en fils.Traditionnellement les Himbas se teignent la peau en rouge avec une pommade réalisée à base de graisse animale, de cendre et de poudre d’hématite. À lorigine directeur général adjoint pour une société de téléphones mobiles, ce dernier est devenu photographe de voyage en 2006 suite à lincroyable succès de ses photos. Cet onguent leur permet de se protéger de l’ardeur du soleil, de la sécheresse de l’air, des insectes. Pin It. Dans une société pastorale, l’exercice de cette fonction est donc de toute première importance.Chez les Himbas, il existe sept clans matrilinéaires. Le chef, et à l’échelon du village, le chef de lignée patrilinéaire, détient les fonctions religieuses. La vérification e-mail a échoué, veuillez réessayer Ils sont responsables d’un secteur géographique dans lequel ils interviennent pour régler les différends. La polygamie est de rigueur (en moyenne 2 femmes ou plus si le mari est riche) et l'adultère féminin est chose courante dans les villages, quand leurs maris sont … Related Posts. Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail. Les dreadlocks volent dans l'air. On devine… 25 mai 2020 - Découvrez le tableau "Himbas" de chevalier5674 sur Pinterest. Ce représentant sera, dans la lignée matrilinéaires selon les règles de parenté utérine, l’héritier des biens de production. Sans s’embarrasser de visas.Ce jeune homme est célibataire (ci-dessus). L’instrument reste dans les cheveux en permanence.Cet homme est veuf, il peut donc découvrir sa tête. Marié (ci-dessous) il portera un turban qu’il n’enlèvera jamais, sauf en cas de funérailles. Pour le peuple Himba, qui est une société matriarcale, les femmes transmettent les droits de propriété et d’héritage.
Cette multiplicité implique en cas de conflits, sur un partage, une utilisation du patrimoine ou un différent religieux, une incapacité à résoudre les problèmes.Aussi les Himbas ont crée un « chef » des représentants des lignées, une forme d’autorité supérieure vers laquelle ils peuvent se tourner, les headmen ou chefs de tribu. Les femmes Himba ont pour particularité d’arborer des coiffures impressionnantes, faites à partir de poils de chèvre, de beurre, d’ocre et de boue. Quand leurs maris sont absents pour s’occuper des troupeaux, l’adultère féminin est chose courante dans les villages. L'article n'a pas été envoyé - Vérifiez vos adresses e-mail ! Leurs croyances se caractérisent par le culte des ancêtres, qui, considérés comme toujours vivants mais sous une autre forme, continuent à s’intéresser aux affaires des mortels et servent de messagers entre leurs descendants et les dieux.L’originalité du système Himba, et plus largement Héréro, consiste en une double organisation sociale maternelle et paternelle : celle de l’eanda de caractère matrilinéaire et celle de l’oruzo de caractère patrilinéaire. Leur structure sociale s’organise autour d’une double appartenance à deux clans : l’un patrilinéaire et l’autre matrilinéaire. Les femmes coiffent avec soin leur chevelure ; la forme des tresses, et leurs accessoires donnent des informations sur leur situation (mariée, en âge de l’être…). Cette croyance définit les fonctions respectives des matriclans et patriclans. Peuple de pasteurs semi nomade, les Himba se consacrent essentiellement à leur bétail. Selon la croyance, chaque individu hérite son sang de sa mère, tandis qu’il reçoit ses caractéristiques spirituelles de son père. Ils constituent une sorte de superstructure des matriclans, son appellation peut se traduire littéralement par « l’organisateur des liens matrilinéaires ». Elles portent des bracelets de cuivre, des colliers et l’ « ohumba », un coquillage blanc, symbole de fertilité.Les Himbas ont accepté de vivre sur un territoire dont personne ne voulait, le désert du Kaokoland.