L’exemple de notre virée nocturne du jeudi 24 mai dernier sur cette rue que le Ouagalais peut identifier à l’avenue Kwame N’krumah est révélateur.Le constat ne souffre d’aucune ambiguïté et l’ambiance est multicolore. Les taudis servent d’auberge.Trafic de drogue : Un Nigérian échappe à 4 ans de prison au TogoEh ici même, humm !
Bienvenu(e) à Lomé, la capitale togolaise !
Aménagé il y a tout juste deux mois, « les clients du « El Paso » sont essentiellement des fonctionnaires et des homes d’affaires », précise son gérant, Rémi Adjakly.Abrité dans un bâtiment à deux niveaux, le « Paso » emploie cinq personnes dont la serveuse Nadège Eyi. Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé. Mais gardez à l’esprit que des millions de personnes vivent à Lomé et que c’est l’une des plus grandes villes hospitalières en Afrique. Togo : la page Facebook de l’artiste Peewii a été piratéeTogo : Triax Financials Assets offre une formation en investissement immobilierTogo/Showbiz : Raoul le blanc tacle sévèrement les artistes togolais (vidéo)Togo: voici le message émouvant de Julio Teko après avoir été atteint du Coronavirus Bazara’Pagne : la marque togolaise à l’honneur dans le projet “Black is King” de BeyoncéJuste que j’ai apprécié.
Ce n’est évidemment pas un ’opus’ de L’Observateur paalga, qui cependant portera la responsabilité de faire passer une telle rédaction digne d’un adolescent tout juste pubère (visiblement, ’l’enfant’ nous fait partager ’sa’ première virée nocturne quasi éjaculatoire en confondant sa gentille canaillerie avec un pertinent reportage : les quoi ?
Sur cette rue qu’on peut comparer à l’avenue Kwame N’ krumah à Ouaga, ou encore à la rue Princesse à Abidjan, on est tenté de l’appeler boulevard «Tous les coups sont permis ». 1.4K likes. Une virée nocturne qui a tenu toutes ses promesses.
A cet instant, une mélodie chaloupée nous caresse les oreilles et celles des quelques clients qui venaient d’arriver.
Un « Xémidjan » de nuit, Sewa Mensah, devisant avec un de ses clients, un expatrié qu’il a accompagné, nous interpelle. Mes clients se comptent aussi bien parmi les hommes mariés que les jeunes », confesse cette jeune fille d’un charme et d’une élégance à attirer plus d’un.L’ambiance est partout sur la « Rue Decon » jalonnée de maquis et de boîtes de nuit.
Ces deux « semeurs de joie » regrettent néanmoins le manque de musique burkinabè dans leur programmation à part les disques de Black So Man et de Sonia Carré D’As qu’ils possèdent dans leurs bacs.Notre ballade ne s’arrêtera pas là. « Les délestages qui sont devenus une tradition au Togo nous posent problème. Au « El Paso », l’entrée est gratuite et la musique classe : Jazz, Salsa... De l’avis de Rémi Adjakly, ils ont de la clientèle même si tout n’est pas rose.
Une ville dans laquelle les riches vivent dans une aisance indescriptible, et au même moment, des pauvres qui mènent une vie misérable dans certains quartiers ou taudis insalubres communément appelés « ghettos ». « Cela fait 3 ans que je fréquente le « Panini Sono ».L’ambiance y est très bonne et je fais mes affaires », dit-elle.
Si vous êtes invités à aller à une discothèque ou une party* à Lomé, il faut vous assurer du type d’endroit où vous allez pour éviter les malentendus, même si dans ces quartiers, il y’a des zones tranquilles et d’autres moins :i tu vis vraiment aux alentours de la rotonde (commissariat de Police) ou tout près des zones éclairées, il n’y a pas de problèmes.
Ce bidonville sans électricité, abrite environ 30000 âmesUne zone du quartier Kodjoviakopé.
Même si les gens y vivent, il y a toujours des zones qui devraient être évitées surtout pendant la nuit.
En poursuivant votre navigation, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Pourquoi ? », rétorque-t-il, l’air subitement triste.Nous nous adressons par la suite à quelques clients. Le boulevard du 13 Janvier ou la « Rue Decon » pour les nombreux veinards, et à quelques pas duquel nous habitions, est le centre de l’ambiance. Il est connu comme le quartier des « pr*stituées » et des dealers.
J’en connais personnellement à Ouaga, partis de peu et qui se fendent, à force d’obstination et d’envie de mieux faire, d’articles toujours meilleurs, d’année en année... Des noms, pour vous donner ce courage-là possible ?