Programme Sectoriel de l’Education et de la Formation du Niger, couvrant la période 2014-2024. Cette loi établit une série dobjectifs à atteindr… Le taux de rétention de l'alphabétisation y est de 10 à 30 % inférieur aux autres pays d'Afrique, selon la durée d'étudesLe taux absolu de rétention des élèves entre 2001 et 2009 n'a connu qu'une faible hausse, aux alentours de 66 %Ces dernières années, le décrochage professionnel enregistré chez les enseignants nigériens, s’explique entre autres par une faible qualité de la gestion des ressources humaines. En effet en 2000, il y a 37% plus de chance pour les garçons d’achever leur cycle primaire que les filles contre 25% en 2012. Afin d’améliorer ces indicateurs, des actions supplémentaires doivent être menées en tenant compte des disparités qui existent selon le sexe et les régions.Dans le domaine de l’éducation, l’année 2013 a connu la finalisation et l’adoption du Plan Sectoriel de l’Education et de la Formation (PSEF) qui prend en compte tout le secteur de l’éducation depuis le préscolaire jusqu’au niveau supérieur. 10198 Ouagadougou 06, Burkina Faso Février 2003. A l’opposé, c’est la région de Diffa (36%) qui enregistre le taux d’achèvement le plus faible. Le rapport des TNS filles et garçons nous montre que les filles présentent un taux net de scolarisation nettement inférieur à celui des garçons.
Pourtant le taux brut d’admission est passé de 90% en 2009 à 98% en 201210.
Ces dotations de l'état ne sont qu'en partie compensées par les dons internationaux (De plus, l'efficacité du système éducatif nigérien peine à atteindre la moyenne des états africains. En classe de CM2, seuls 25% des élèves atteignent le seuil minimal de maîtrise du français et des mathématiques et 2% le seuil désiré (MEN, 2012).Le déséquilibre entre l’offre et la demande, l’existence d’enseignants sans formation de base, le maintien de normes sociales favorisant le mariage précoce et le travail des enfants, le taux élevé d’analphabétisme des adultes et la pauvreté continuent à entraver la scolarisation et le maintien des enfants, particulièrement les filles à l’école. Les systèmes éducatifs constituent un élément important de la problématique nationale de développement économique et social des pays africains ; le Niger en est une parfaite illustration. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Au titre des mesures qui devraient permettre d’améliorer les capacités et performances quantitatives du système on peut citer :Sur le plan qualitatif, des actions ont été ou sont en cours de réalisation aussi bien sur le plan législatif et réglementaire qu’organisationnel. Chaque année au Niger, près de 10 000 enfants entrent en première année du préscolaire. L’absence de perspectives d’évolution professionnelle contribue à démotiver les enseignants, qui sont nombreux à quitter l'enseignement à la première occasion, considéré par eux comme un gagne-pain, « faute de mieux »Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Ce dernier est le rapport du nombre d’enfants officiellement scolarisables (l’âge scolaire étant défini par le système national d’enseignement) inscrits à l’école primaire à la population totale d’enfants d’âge scolaire.Le Taux net de scolarisation (TNS) est passé de 18% à 70% de 1992 à 2012 soit une augmentation de 2,6 points de pourcentage par an. Si cette tendance se maintient, on aura en 2015 un taux net de scolarisation d’environ 78%. Il est en partie inspiré du modèle éducatif français. Le système scolaire nigérien est en majorité public, L’éducation préscolaire s’adresse aux enfants âgés de 3 à 5 ans. En effet seulement 70% des enfants en âge d’être scolarisés ont été effectivement inscrits ; seulement 56% des enfants inscrits au primaire ont achevé le cycle ; et seulement 31% de la population est alphabétisée.