Entretien. Une colonne d’une cinquantaine de véhicules 4X4 avec à leur bord des centaines de combattants du CCMSR se serait alors emparée de Les informations en provenance de cette région totalement coupée du monde sont très confuses jusqu’ici, mais un spécialiste de la région reconnaît que ce groupe armé « Suivez toute l'actualité internationale en téléchargeant l'application RFIProcès Habré: «Pas de répit, tant que le Tchad n’aura pas indemnisé les victimes»Les Soudanais réfugiés au Tchad racontent leur enfer au DarfourLes réfugiés darfouriens au Tchad bien accueillis par la populationAu Nigeria, de nombreux civils «pris en otages» par des jihadistesRDC: les dépenses de la présidence et la primature dérapent sur le mois de juilletGabon: la famille Mba Obame se déchire sur la succession du patriarcheMali: les militaires mutins appellent la population à reprendre ses activitésMali: de la grogne à la mutinerie, un coup de force prévisible?Le président sénégalais Macky Sall attendu en France fin aoûtLe Trésor américain sanctionne des Ougandais accusés de trafic d'adoptions illégalesMali: le président IBK annonce sa démission suite au coup de force militaireRCA: la Minusca et l'armée reprennent la ville de Koui, fief du groupe armé 3RLe contenu auquel vous tentez d'accéder n'existe pas ou n'est plus disponible.
Tchad: le chef rebelle tchadien Djibrine Dassert exposé à la presse – Afp Publié le 14 Jan, 2010 Le chef rebelle tchadien Djibrine Dassert, dont la capture a été annoncée le 8 janvier par les autorités mais aussitôt démentie par son mouvement, a été présenté jeudi par N’Djamena à la presse, a constaté un journaliste de l’AFP. Baba Ladde (« père de la brousse » en langue Peul) est un rebelle tchadien peul s'opposant au régime tchadien d'Idriss Déby. Coronavirus: l'Afrique face à la pandémie le jeudi 13 août. Bangui, République centrafricaine, mardi 11 août 2020. RFI n'est pas responsable des contenus provenant de sites Internet externes. Chef rebelle tchadien, Baba Laddé, actif en Centrafrique, avait été arrêté en décembre 2014 par les Casques bleus de la mission de l'ONU dans ce pays, puis extradé vers le Tchad en janvier 2015. « Après un léger accrochage », selon le porte-parole du groupe rebelle tchadien. Côte d'Ivoire: le Réseau de la presse en ligne alerte sur les fake news liées au Covid-19. 13/08/2020 Dans une lettre adressée au régisseur de la maison d’arrêt de […] Dans la région du Tibesti, dans l’extrême nord-ouest du Tchad, le Conseil de commandement militaire pour le salut de la République (CCMSR), qui a ses bases-arrières dans le sud libyen, revendique depuis une semaine une nouvelle incursion sur le territoire tchadien, un an après sa dernière attaque. ... 17/08/2020. Mahamat Abdoul Kadre Oumar est né le 21 juillet 1970 à … En conséquence, il souhaite alerter l’opinion nationale et internationale sur ses conditions, et décide à l’occasion d’entamer une grève de la faim jusqu’à sa libération, selon ses proches joints au téléphone par la rédaction de Corbeaunews-Centrafrique.Il y a lieu de rappeler que Mahamat Abdoul Kadre alias Baba Laddé , l’ex-gendarme tchadien, entré en rébellion en 1998 au Darfour, région de l’Est soudanais, s’était rendu en Centrafrique en2008 où il disait vouloir « libérer les Peuls », des éleveurs de bétail transhumants. Il devrait être libéré le 5 janvier 2020 après cinq années d’incarcération, mais cela n’a pas été fait.Pour lui, son maintien en détention est totalement illégal au vu de la loi de son pays, le Tchad. Bangui (République centrafricaine) - Le chef rebelle tchadien Mahamat Abdoul Kadre alias général Baba Laddé, illégalement détenu dans la prison de Moussoro au Tchad depuis la fin de sa peine le 5 janvier 2020, déclenchera une grève de la faim à partir de ce mercredi 5 février 2020, a-t-on appris de source proche de sa famille. Dans une correspondance manuscrite adressée au régisseur de la maison d’arrêt de Moussoro, lieu de sa détention, l’ex-chef rebelle peul tchadien dénonce les conditions de sa détention qu’il qualifie d’illégale.En effet, Baba Laddé avait été condamné en décembre 2018 à huit ans de prison ferme pour « détention illégale d’armes », « association de malfaiteurs », « incendie volontaire » et « viol » par la cour criminelle de N’Djamena.